• Un doux murmure parcoure la nature...
    Frissons d'une nuit qui laissa un beau souvenir au passage...

    Le sommeil laissant place à l'aurore du Réveil...
    Les fées s'en allant, laissant les lutins djurnes réveiller les Êtres de la forêt.

    La terre soupirant au premières carresses du soleil.
    La transpiration nocturne s'échappant en buée...

    Un matin comme tant d'autres... semble-t-il...
    et pourtant... non...

    Toute la faune et flore semble à l'éveil.
    Biches et écureuils, oreilles pointées ils observent au loin...
    Attentifs ils se confondent en leur milieu...

    Au loin déjà de légers cris se laissent entendre, des spectateus se battant la meilleure place...
    Silence religieux, et impressionnant...
    Oui, mêmes renards et blairaux viennent de loin...

    Seul un jeune faon, insouciant, heureux de vivre, sans se soucier des regards avertissants, inquièts de sa maman, gambade au bord de la clairière...
    Quand soudain, il perçoit de ses grands yeux bruns appeurés, l'objet de convoitise de tout l'entourage...

    Allongé au sein d'une clairière, sertie de hautes herbes dotées de fleurs parfumées encore fermées ensommeilées...
    Un Être venu d'ailleur...

    Couché sur son dos, bras gauche étendu et le droit croisé sur son torse...
    Visage paisible endormi...
    Rayonnant de cérénité...
    Une mèche doré lui barrant le front, adoucissant les pommettes et le meton anguleux.
    Un long nez droit, serti de l'ombre des longs cils noirs...
    Un cou musclé et agile, coulant sur des épaules bien roulées...
    Ses narines s'ouvrant et se fermant imperceptiblement...

    Mais qui est-ce, se demandent ses observateurs...

    Quand un papillon intrépide, s'en va inspecter le reste de Lui,
    suivant la courbe de son torse, sur sa hanche et son fessier ferme, descendant sur des cuisses musclées, le long des jambes affinées... jusqu'aux pointes d'orteils si parfaitement sertis.

    Des gouttelettes de nuées, caressent cette peau dorée en suivant le sentier des pectoreaux...
    léchant de leur humidité chaque parcelle de ce corps Divin...
    Se délectant de ce moment de douceur...

    Le papillon, rassuré par l'air paisible du dormeur, s'en va se poser sur le flanc de ce dernier...
    Pour s'en envoler aussitôt, jambe droite étant pris de violents coups...
    Chatouilleux, l'encorcelant dormeur s'étire...
    Se love d'avantage sur son bras, s'enroulant...

    De ses lèvres pulpeuses s'échappe un soupire d'aise...
    En un chant envoutant...

    Mais qui est cet Être?
    D'où vient-il?
    Les fées de la nuit l'auraient-elle oublié?

    Ou.... serait-ce les sorcières, celles dont les noms sont damnés, qui l'ont amené?
    Celles dont la dernière malédiction, plane encore en de longs frissons et soupirs douloureux, en chaque habitant de la forêt interdite...?

    ....


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  • Tu es le cerf et moi le chevreuil,
    Je suis l'oiseau toi le tilleuil,
    Tu es le soleil, moi la neige,
    Je suis le jour et toi le rêve.

    La nuit des lèvres du dormeur,
    Un oiseau d'or vole vers toi,
    Voix claire, ailes aux vives couleurs,
    Qui te dit le chant d'amour,
    Qui te dit ma chanson à moi.

    Elle n'est pas pleine d'humour,
    Mais te montre bien mon Amour,
    Que j'ai toujours eu envers toi,
    Pour moi le chat et toi le chien,
    Ca marche vraiment très bien.



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  • Tes yeux bruns me caressent,
    Rendant mon coeur en liesse,
    Le monde entier je délaisse,
    Pour une seule de tes caresses.

    Des vagues de chaleur me traversent,
    Dès que tes doigts sur moi se prechent,
    Et du plaisir à donner cherchent,
    Avec ma peau tes mains conersent.

    Sous moi le sol entier se dérobe,
    Quand de mon oreille tu lèches le lobe,
    Un son Devenu rauque pour moi j'entends,
    Quand doucement dans les doigts je le prends.

    Entre mes dix doigts tu te tortilles,
    Tes yeux d'un nouveau éclat d'or brillent,
    Mes mains continuent à te rendre fou,
    A tel point que tu en deviens tout mou.

    Quand enfin en moi tu viens,
    Tes yeux bruns dans les miens,
    M'imposant le rythme qu'est le tiens,
    S'approfondissent tous nos liens.

    Quant l'extase nous rends heureux,
    Nous crions ensemble vers les cieux,
    Mais cette soif ne s'en est point calmée,
    Alors nous recommencons chaque soirée.


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  •  


    Le soleil couchant je regarde,
    Devant mes yeux tu parades,
    Sans faire de mascarades,
    À côté de toi le sel est fade.

    Tout feu, tout flamme j'observe,
    Tes longues jambes si musclées,
    Qui ne cessent de marcher,
    Et que seul un petit toucher,
    En millie et un frissons servent.

    Ton t-shirt moulant t'arracher,
    Pour avec mes yeux te mouler,
    Sans jamais plusne m'arrêter,
    De jouissance te faire hurler.

    Peut-être que c'est éternel,
    Ca repose sur la sentinelle,
    Qui a allumé l'éteincelle,
    qui telle une pelotte de ficelle,
    Tellement nous encorcelle.

    L'avnir nous dévoilera,
    Ce que le destin nous décrêta,
    Sans que rien ne l'arrêtera,
    C'est le bon Dieu qui le voulait comme cela.


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  • Lionne, sensuelle, charnelle passionnée fanissant peu à peu...
    Pleine d'amour et de tendresse en quête de Celui qui la refera vivre...

    Solitude, larmes et insomnie chassant,
    Il se verra la prendre dans ses bras et la voir fondre dans ces derniers,
    éssoufflée de sa longue recherche. au bord du précipice d'où il la retirera, au point donné.
    ni trop tard, ni trop tôt. juste au point donné.

    Il l'emmênera là où dans ses rêves ils se trouvaient déjà depuis toujours.

    viens à elle, elle a besoin de Toi,

    Doucement elle se meurre sans Toi...

    Comment finira sa quête,

    Seuls les Dieux le savent, et vous qui suivez son chemin...


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