• Aigre-doux

    Ô douce douleur,
    Ô mon amie tant aimée,
    Que ferais-je sans toi,
    Sans toi que je ne me sentirais plus vivre.
    Ta sœur, l'amour m'a quitté,
    Alors c'est toi qui m'es devenue fidèle.
    Ô douleur, ma douce mie,
    Berce-moi dans tes bras,
    Et conte-moi de ta sœur,
    Elle que je désire tant,
    Elle qui me manque tant,
    Elle sans qui je ne vis plus comme avant.

     


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    t'attire irrémédiablement...
    l'envie de te laisser tomber dedans pour oublier...

    ensorcelé par le chant douloureux...
    mélodie de ton coeur souffrant,
    eccho de ton âme criant....

    où est-Il?
    pourquoi n'est-Il pas là???

    Devant tes yeux tu Le vois...
    presque réel...
    et pourtant si loin...

    Tu tens les bras pour le toucher...
    Sentant déjà Son parfum si subtile...

    L'envie massacrante de te laisser tomber,
    Dans Ses bras là....

    Le goût de Sa peau sur tes lèvres,
    La texture de Son corps gravé dans tes mains...

    Le son de Sa voix dans ton coeur,
    Le murmure aux milles promesses...
    Faites de Son regard qui n'est que finesse.

    Le sommeil, la vie, plus rien n'a d'importance...
    Si ce n'est d'avoir cette chance.

    Ô Toi qui hante mes nuits et mes rêves,
    Toi dont la présence ne me quitte plus,
    Toi que j'attends depuis toujours...
    viens... viens chez moi mon amour...

    J'ai besoin de toi,
    Ma seconde moitié,
    Sur la lune je l'aurais crié.

    Guère plus humain,sensé ou réel,
    N'est cet amour que je porte en moi,
    Et pourtant ce que j'y crois.

    Existes-tu seulement?
    Te sauras-tu te reconnaitre dans mes cris?
    Mon chant te parviendra-t-il seulement?
    Et si oui, sauras-tu en décripter le sens?

    Ô génies et Dieux éternels,
    Ayez pitié de mon coeur souffrant,
    Et transmettez-lui mon message,
    Je l'aime déjà tant...

    A l'espoir de Te voir,
    Au desespoir de plus en pouvoir,
    A la peur de ne pas suffire.

    Toi parfait pour moi,
    Tel que tu es,
    Avec tes milles défauts,
    Qu'un à un je chérirais tant...

    Ma seconde moitié,
    Ma vie, mon coeur et mon âme,
    Je t'attends,
    J'attends un signe de toi...

    Pleurant de peine et de joie,
    Je t'embrasse chaudement aux goûts de l'arcenciel, et promesses d'un futur rien qu'à nous....

    Tienne par le passé, par le présent et pour le futur....
    Ta seconde moitié.
    Lionne câline....


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    Ton parfum m'entourant tu te penches vers moi...
    D'une voix sensuelle tu me salues...
    Pour approfondir le sens de tes mots par de chauds baisers...

    Te voilà enfin....
    Ton regard de velours noir m'ensorcelle.
    Dans tes cheveux mes mains se perdent,
    À la quête de l'approche douloureusement désirée...

    Le cœur battant à la chamade, pour s'interrompre directement après,
    Le restant de monde s'évaporant autour de nous.
    Nous ne vivons plus que pour l'instant présent.

    Éblouie par ta beauté, le souffle coupé par tant de perfection.
    Incrédule de toucher une telle merveille...
    Les larmes au fond de la gorge de plaisir.
    La peur au ventre de ne pas suffire à une telle Divinité.

    Te sculpter au gré de mes envies avec mes doigts,
    Dont la texture semble si rude, et les mouvements si incertains.
    Le besoin de me laisser aller dans tes mains...

    À chaque baiser un peu plus tu me voles de mon cœur.
    Qui pourtant est encore bien trop blessé...
    En tous cas je l'eu crus...
    Mais le contraire tu me l'as prouvé...

    La peur me hante, comment me laisser aller,
    Comment oser à nouveau ?
    Fini les pensées, il est temps de vivre...
    Au gré des dangers je m'ouvre à toi.

    La passion nous unit...
    Les caresses se complétant par des baisers ardents...
    La lave coulant dans nos veines, tourbillonnant dans nos esprits...
    Enivrants nos corps douloureux de désire...<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Tentant de freiner un peu la route vers la folie...
    Cherchant un repère pour prendre le souffle...
    Partant à la dérive encore et encore...
    Perdant de plus en plus pied...

    La fusion se faisant plus proche.

    Un mot m'échappe...
    Un de trop...
    Qu'en sais-je...

    Je te sens juste un instant déstabilisé...
    Illusion ou réalité ?
    Quoi qu'il en soit tu l'as vite caché...

    L'émerveillement nous emportant j'oublie tout...
    Me laissant guider sur des sentiers lointains...

    Nous nous endormons, épuisés...
    Bien triste mon cœur...
    Car pas bras dans les bras...

    Moi trop peur de t'approcher alors que je ne sais si tu le veux...
    Et toi... je ne le sais...
    Mystère...

    Te caresser encore...
    Redessiner la perfection qu'à crée dame nature.

    Peindre par la même le contraste que je forme par rapport à toi.
    À mes yeux...
    Approfondir mes doutes et mes peurs...

    Agrandir mon cœur.

    Durant la nuit...
    Doucement tes bras autour de moi se posent...
    M'enlacent...
    De douces larmes se coulent de mes yeux...

    Que c'est bon...
    Que ca fait mal parce que c'est tellement bon...

    J'en perds le sommeil.
    Ne me lassant de t'observer...<o:p> </o:p>

    Oui. Tu me manques.
    Peur de le dire, par peur de voir la réaction.
    Par ce que tu m'as dis.

    Toi vieux garçon...<o:p> </o:p>

    Moi ne voyant que peu le problème.
    N'ayant pas la vie facile, donc préférant aussi y aller mollo...
    Au gré de nos envies...
    Et de la magie...
    Ou au gré du destin...

    Je ronge mon frein...
    Serrant les rennes de mes chevaux sauvages,
    M'évadant là où ne se trouvent que nos rivages,
    J'attends de voir...
    J'attends d'y croire encore plus...
    J'attends de te voir...
    J'attends un de ces soirs...

    La chasse est ouverte...
    Qui le gibier qui le chasseur,
    Qu'à cela ne tienne...
    Tant que cela vient du cœur...

    À toi, qui te reconnaitra...
    De langoureux baisers torrides<o:p> </o:p>

    Ta féline...
    Nadja

    <o:p> </o:p>

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    À Dieu

    À Dieu démons de mon passé,
    Vous qui m'avez tant tracassés.
    À Dieu fantômes de mes nuits,
    Vous cauchemars, vous ô fruits,
    De mes maints malheurs,
    Provoqué par mes bourreaux,
    Infligeant milles douleurs,
    Pas que par des coups de couteaux.

    À Dieu vous qui m'avez tant fait souffrir,
    Vous dont nul conscience vous fera mourir,
    Autant que mon cœur et mon âme,
    Et pourtant, ce que je vous blâme.

    Vous m'avez volé ma dignité,
    De honte je n'ai point été privée,
    À terre que vous m'avez abaissé,
    Pour mieux encore m'écraser.

    Ce fut il y a longtemps,
    Tellement de temps.
    Tic....
    Tac....
    Le temps passa...
    La vie reprit ses droits,
    Doucement je me relevais,
    Rechutais...
    Me relevais...

    Mais aujourd'hui,
    Vous sais-je encore en vie,
    Nos chemins se recroiserons,
    Alors moi, tel Cicéron,
    Je te dominerais de toute ma force,
    Tel un baobab de sa dure écorce,
    Je me tiendrais debout devant toi,
    Et que pitié tu recevras de moi.

    Car oui, toi qui es mon bourreau,
    Toi qui à fissuré mon âme et corps,
    Je te dis, oui je suis le plus fort !
    Vaincu tu es car je t'ai survécu,
    Je me suis tant débattu,
    En passant même aux fourneaux.

    De toute ma hauteur et ma dignité regagnée,
    Je te ferais signe de t'agenouiller,
    Devant la loi tu devras répondre,
    Et sous sa sentence fondre.

    Moi, je te rejette de ma vie,
    Tel un poteau une scie,
    Coupé de mon présent,
    Tu ne seras plus que passé.

    Jamais plus à cause de toi je ne pleurerai.

    Mes larmes appartiennent au présent,
    De mon cœur les battements,
    S'accéléreront plus que pour un,
    Celui avec qui je serais main dans la main.

    Alors te disant à Dieu,
    Je te tourne le dos,
    Toi mon ancien bourreau,
    Brûle tel que et dans du feu,

    À Dieu....

    Nadjushka
    14.05.07

     

     

     


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