• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>  </o:p><o:p> </o:p>Il meurt lentement
    celui qui ne voyage pas,
    celui qui ne lit pas,
    celui qui n'écoute pas de musique,
    celui qui ne sait pas trouver
    grâce à ses yeux.

    <o:p> </o:p>Il meurt lentement
    Celui qui détruit son amour-propre,
    Celui qui ne se laisse jamais aider.

    <o:p> </o:p>Il meurt lentement
    Celui qui devient esclave de l'habitude
    Refaisant tous les jours les mêmes chemins,
    Celui qui ne change jamais de repère,
    Ne se risque jamais à changer la couleur
    De ses vêtements
    Ou qui ne parle jamais à un inconnu

    <o:p> </o:p>Il meurt lentement
    Celui qui évite la passion
    Et son tourbillon d'émotions
    Celles qui redonnent la lumière dans les yeux
    Et réparent les cœurs blessés

    <o:p> </o:p>Il meurt lentement
    Celui qui ne change pas de cap
    Lorsqu'il est malheureux
    Au travail ou en amour,
    Celui qui ne prend pas de risques
    Pour réaliser ses rêves,
    Celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
    N'a fui les conseils sensés.

    <o:p> </o:p>Meure lentement celui qui est privé de son étoile de vie...
    De sa raison d'être...
    Du seul être qui compte pour lui...
    De la personne qui donne sens à sa vie...

    <o:p> </o:p>Meure de l'intérieur celui qui perd la lumière qui le guide,
    Peu à peu s'efface-t-il comme part tout espoir...

    <o:p> </o:p>Meure lentement mais sûrement celui qui se vide
    Privé de l'amour... privé de la complicité de l'être aimé.

    <o:p> </o:p>Se meure peu à peu sans que personne ne s'en aperçoive
    Celui à qui le monde lui semble dépeuplé tellement lui manque une seule personne...
    Sa seconde moitié...
    Sans qui on est rien...

    <o:p> </o:p>Tout devient égal...
    La vie devient égale...
    La douleur vous emporte dans les plus grands tréfonds...
    Le sommeil... la mort...
    Oui...
    Voilà la seule délivrance...

    <o:p> </o:p>On n'aime qu'une seule personne de la sorte pour mourir ainsi sans sa présence...
    Alors on continue sans espoir...
    Pour tenter de tenir la face...

    <o:p> </o:p>Mais comme le cancer...
    ca vous bouffe de l'intérieur...

    <o:p> </o:p>Soupire...

    <o:p> </o:p>Pas d'espoir...

    Ni de rêves...
    Ni d'attentes...
    Plus rien si ce n'est que des larmes...
    <o:p> </o:p>

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  • Oh Engel des ewigen Schlafs hör' mich an!
    Innigst nimm mich ich dein Arm!
    Lass mich vergessen,
    Ein weil den den ich lieb',
    Für den ich mich in jede Gefahr gern begieb.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>
    Lass kurz verschwind den Schmerz,
    entnimm mich meinem Herz.
    Lass uns gehen weg von hier,
    meine Tränen seien Dank an Dir.
    Zurückhalten kann ich sie nicht,
    entraubt bin ich meines Licht,
    des Sinns meines Lebens,
    des Athens meines Herzens,
    die Sehl' find keine Ruh,
    So Hilf mir doch!
    Schlafen will ich nu!

    <o:p> </o:p>
    In Träum alleine kann ich hin,
    da wo ich nu glücklich bin,
    in seine Arme ganz nah,
    oh ja!

    <o:p> </o:p>
    Doch, hat er noch nen Kampf stehn bevor,
    den um seinen Willen zu Gekoren.
    Seine Liebe gesteht er Stark,
    doch fehlt ihm Mut im Mark.

    <o:p> </o:p>
    Verweilen oder gehen?
    Was soll nun geschehen?

    <o:p> </o:p>
    Jede Faser meines Seins,
    zerbricht langsam ein um eins.

    <o:p> </o:p>
    Oh lieber Engel lass uns gehen,
    ohne ihn kann ich nicht leben.
    Wir sind Eins,
    alleine keins,
    und so brich'ich in tausend Stücke,
    schreiend fallend in die tiefe schwarze Lücke.

    <o:p> </o:p>
    Traurig schaust mich an,
    Engel was hast' getan?
    -         nichts, ausser ihm Mut zugesproch'n.

    <o:p> </o:p>Kurz vorm einschlafen flüstere ich noch,
    -         oh wie gern hät'ich ihn doch glücklich gmacht!

    <o:p> </o:p>Und nun besiegt,
    sterb'ich aus liebe,
    dem Kampfe müde,
    entledigt jeglicher macht...

     


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  • Tu es le cerf et moi le chevreuil,
    Je suis l'oiseau toi le tilleuil,
    Tu es le soleil, moi la neige,
    Je suis le jour et toi le rêve.

    La nuit des lèvres du dormeur,
    Un oiseau d'or vole vers toi,
    Voix claire, ailes aux vives couleurs,
    Qui te dit le chant d'amour,
    Qui te dit ma chanson à moi.

    Elle n'est pas pleine d'humour,
    Mais te montre bien mon Amour,
    Que j'ai toujours eu envers toi,
    Pour moi le chat et toi le chien,
    Ca marche vraiment très bien.



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  • Tes yeux bruns me caressent,
    Rendant mon coeur en liesse,
    Le monde entier je délaisse,
    Pour une seule de tes caresses.

    Des vagues de chaleur me traversent,
    Dès que tes doigts sur moi se prechent,
    Et du plaisir à donner cherchent,
    Avec ma peau tes mains conersent.

    Sous moi le sol entier se dérobe,
    Quand de mon oreille tu lèches le lobe,
    Un son Devenu rauque pour moi j'entends,
    Quand doucement dans les doigts je le prends.

    Entre mes dix doigts tu te tortilles,
    Tes yeux d'un nouveau éclat d'or brillent,
    Mes mains continuent à te rendre fou,
    A tel point que tu en deviens tout mou.

    Quand enfin en moi tu viens,
    Tes yeux bruns dans les miens,
    M'imposant le rythme qu'est le tiens,
    S'approfondissent tous nos liens.

    Quant l'extase nous rends heureux,
    Nous crions ensemble vers les cieux,
    Mais cette soif ne s'en est point calmée,
    Alors nous recommencons chaque soirée.


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  •  


    Le soleil couchant je regarde,
    Devant mes yeux tu parades,
    Sans faire de mascarades,
    À côté de toi le sel est fade.

    Tout feu, tout flamme j'observe,
    Tes longues jambes si musclées,
    Qui ne cessent de marcher,
    Et que seul un petit toucher,
    En millie et un frissons servent.

    Ton t-shirt moulant t'arracher,
    Pour avec mes yeux te mouler,
    Sans jamais plusne m'arrêter,
    De jouissance te faire hurler.

    Peut-être que c'est éternel,
    Ca repose sur la sentinelle,
    Qui a allumé l'éteincelle,
    qui telle une pelotte de ficelle,
    Tellement nous encorcelle.

    L'avnir nous dévoilera,
    Ce que le destin nous décrêta,
    Sans que rien ne l'arrêtera,
    C'est le bon Dieu qui le voulait comme cela.


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