• Coup de Foudre

     


    Le soleil couchant je regarde,
    Devant mes yeux tu parades,
    Sans faire de mascarades,
    À côté de toi le sel est fade.

    Tout feu, tout flamme j'observe,
    Tes longues jambes si musclées,
    Qui ne cessent de marcher,
    Et que seul un petit toucher,
    En millie et un frissons servent.

    Ton t-shirt moulant t'arracher,
    Pour avec mes yeux te mouler,
    Sans jamais plusne m'arrêter,
    De jouissance te faire hurler.

    Peut-être que c'est éternel,
    Ca repose sur la sentinelle,
    Qui a allumé l'éteincelle,
    qui telle une pelotte de ficelle,
    Tellement nous encorcelle.

    L'avnir nous dévoilera,
    Ce que le destin nous décrêta,
    Sans que rien ne l'arrêtera,
    C'est le bon Dieu qui le voulait comme cela.


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